Un soir après le travail, j’étais en train de souper, et je regarde les nouvelles locales à la télévision, et voici que je vois une auto comme celle de mon frère, et l’annonceur nous avise qu’il a eu tentative de meurtre suivi d’un suicide. Hey, j’allume et je me dis ça se peut pas que ce soit mon frère, je regarde l’endroit et l’adresse qu’il nous donne et cela colle avec l’endroit ou il devait aller aider quelqu’un à refaire le plafond de son sous-sol. Le téléphone sonne et c’est pour m’aviser que mon frère est à l’hôpital et que ça ne vas pas bien. Je me dirige à l’hôpital, et je me rends au soin intensif, et le médecin m’informe qu’ils lui ont donné 21 chopines de sang et qu’ils ne sont pas capables d’étancher les trous faits par le fusil 12. il a reçu trois coups de fusil calibre 12 dans le côté, ce qui l’a pratiquement coupé en deux. Il nous avise qu’il ne passera pas la nuit. Je demande à l’infirmière de faire venir un prêtre pour les derniers sacrements pour mon frère, ce qui fut fait. J’arrive à la maison, je me couche, et durant la nuit, Le Seigneur permet que mon frère vienne me voir dans ma chambre. Debout, tout vêtu de blanc, lumineux, à côté de mon lit, près de moi, il me montre ses plaies et me demande de le laisser partir…je lui ait dit, t’es tu fou, il n’en est pas question, il se soulève en l’air et se dépose dans mes bras ouverts, et me montre plus proche encore ses nombreuses blessures et il me dit que cela lui fait très mal, et que je dois le laisser partir, cela me fait réfléchir, et je ne veux pas le laisser s’en aller. Alors, il me dit, Écoute Gilles, laisse-moi m’en allez et je te promet de venir t’aider si tu as besoin, cependant, tu dois prier fort avec tout ton coeur pour que je t’entendre et puisse revenir t’aider, car de l’autre côté, c’est tellement beau et nous sommes occupés à aimer et adorer Le Seigneur, que seules les prières faites avec une forte intensité du coeur parviennent jusqu’à nous, prie fort et je reviendrais t’aider, si tu as besoin, cela me confirma et me rassura que cela venait bien du Seigneur et j’acceptai de le laisser partir, je ne savais pas que l’on pouvait retenir quelqu’un que l’on aime. Quelques minutes plus tard, nous recevions un coup téléphone, nous avisant que mon frère était décédé.
Plusieurs années plus tard,
ma fille ainée débuta son adolescence par une sexualité active, tellement active que je dus m’en mêler. Malgré de nombreux dialogues avec elle, rien n’y fit. Nous recevions des téléphones à la maison de femmes mariées qui nous avisaient que notre fille couchait avec son mari et que si cela ne cessait pas, elles battraient notre fille. Je priais car je ne savais pas quoi faire, pour lui démontrer que nous l’aimions et qu’elle ne pouvait pas tout faire, je demandais à sa mère de sortir une valise et de mettre son linge dedans, que je l’envoyais vivre ailleurs que chez-nous en raison de son comportement. Le coeur brisé et transpercé d’un coup de poignard, je ne savais plus quoi faire, ni ou m’adresser, Le Seigneur permit que je me souvienne de la promesse que mon frère m’avait faite, voilà quelques années et je lui demandais avec une forte insistance de venir nous aider. Je puis aujourd’hui, vous dire que nos personnes que nous aimons et qui sont rendus à la patrie céleste sont toutes puissantes sur la terre et dans le ciel, car ils ont Dieu pour Père et ami. En dedans de quarante jours, tout fut arrangé. Je demandai pardon à ma fille de ce que je lui avais fait souffrir, elle demeura pendant des années à m’en vouloir et me condamner, mais je ne pouvais pas la laisser brisée sa vie. Un jour, elle verra et comprendra tout la douleur que nous avons souffert sa mère et moi; elle verra que le mal, la douleur profonde et la souffrance avec Jésus ne conduit pas à la mort, mais à la vie. « Un chrétien qui meurt, donne la vie à un autre, par sa foi en la résurrection du Christ. Il s’unit à la passion du Christ ! »
Le Seigneur, permit que l’effet de la Parole de Dieu que nous écoutions plusieurs fois par semaines produisit son effet en moi, j’étais comme une terre où tout l’eau de la Parole tombait par terre avant que j’en eusse profit . La terre intérieure de mon cœur était tellement sèche et chaude par les passions, qu’elle semblait s’évaporer avant qu’elle ne touche le cœur. Je ne me rendais pas compte, mais des changements s’effectuait…il était dit quelque part dans la Bible que La Parole du Seigneur ne retournait pas à lui, sans qu’elle eu accomplit (Ésaïe 55.10-11) l’effet désiré…pour moi cet effet était la guérison de nombreuses plaies que j’avais reçu , ou que je m’étais données au cours de mon existence ! Je recommençais à espérer et à vivre. Avec la grâce du Seigneur, je pardonnai à mon père et à ma mère, car je compris qu’ils ne pouvaient pas donner, ce qu’ils n’avaient pas reçu ou oublier de demander à la grâce de Dieu. Ils ne pratiquaient plus, et je compris pourquoi ils vivaient cet enfer, le résultat a été assez frappant.
Après deux ans de cheminement , une nuit, je fus surpris de me trouver assis dans mon lit et complètement éveillé; L’Esprit me montra une chose qui sortait de moi, c’était comme un rond électrique, vide dans le milieu, d’environ 10 pouces de circonférence, je cru percevoir que seul l’effet de la Parole avait la puissance de sortir cet esprit de l’intérieur de moi, tellement il était caché en profondeur …il me montra, la pluie fine de la Parole qui pénétrait en moi et combien, il était nécessaire que je reçoive beaucoup d’averse de pluie pour que la terre soit imbibée d’eau à cette profondeur…lorsque cette eau( La parole du Seigneur) tomba sur lui, il ne put rester caché…il dut s’en aller, cela semblait l’incommoder au plus haut point. Je ne savais pas trop ce que signifiait pour moi cette intervention du Seigneur dans ma vie, mais par la suite, je m’aperçu que je n’avais plus de désir impur, et que je commençais à être capable de me maîtriser du côté de la sexualité ; Je découvris avec l’aide du Seigneur que l’amour pour mon épouse était supérieur à la sexualité et que cela devait passer avant la sexualité. À cause que j’aime mon épouse, je peux m’abstenir par amour et attendre que Le Seigneur permettre une relation sexuelle ensemble.
Je demeure quand même fragile de ce côté…je connais ma faiblesse, et quand se présente cette tentation, alors je décolle comme un coup de vent…je ne veux plus me faire reprendre…cet esprit ou démon, durant une nuit , plusieurs années après ,revint me voir, et me redemanda la permission d’entrer à nouveau en moi, la réponse n’a pas tardée, je lui ai dit qu’il était malade et que plus jamais il n’entrerait en moi, alors, je le vit partir et discuter avec d’autres esprits pour les convaincre de l’aider à regagner sa demeure. Ils acceptèrent et revinrent tous pour me battre… il commença à me battre dans mon lit, la douleur commençait à chaque coup que je recevais d’eux, au même moment m’apparut le visage de JESUS lumineux comme sur le St-Suaire et il portait mes douleurs de ce que les démons me faisaient cela dura, selon moi, toute la nuit…au petit matin, les démons s’en allèrent me laissant pour mort, et cela cessa; Je ne voulais pas me lever, j’étais certain d’avoir besoin de soins immédiats, et d’avoir plusieurs membres de cassés, je fus étonné que je n’avais aucune marque, et pas de sang après avoir reçu une telle raclée! WOW! C’est vrai que Le Christ a porté toutes nos fautes et nous défends dans l’adversité.
Le curé de la paroisse qui s’occupait de notre communauté tomba malade et la communauté fut transférée sous la direction d’un autre curé ….Nous étions 65 personnes dans la communauté, nous n’avons transféré que 5 personnes. Un catéchiste italien, un soir après une rencontre, m’interpella au moment ou je montait les escaliers pour m’en retourner chez moi, il me questionna et me demanda qu’elle était mon nom, je lui ai dit que je m’appelais Gilles, il me demanda s’il existait un saint de ce nom dans le calendrier liturgique, je lui ai dit que je pensais pas qu’il en avait un, il m’indiquait qu’un jour, il en aurait un et que ce serait moi…je lui ai dit, pauvre-toi, sais-tu qui je suis, et comment je suis misérable et pauvre………il ne me dit rien d’autres et je repartis chez moi.
Je surveillais les propos du curé, et je me disais qu’il savait des choses, mais qu’il ne savait pas tout. Alors, je me mis à le surveiller comme un chat surveille une souris, je me disais, lorsqu’il fera une grosse erreur je lui mettrais sur le nez…. Un jour, cela se produisit, il parlait contre un confrère prêtre qui s’occupait d’une autre paroisse de la façon, dont ce curé témoignait de son amour envers les espèces consacrées…là, je l’avais.. Là mon gars tu vas y goûter, tu ne sais pas tout ; t’est comme nous, limité et pécheur…après la célébration du pardon qui venait d’avoir lieu; nous nous dirigions vers le buffet qui était préparé (l’Agapè) je parti pour lui mettre la main sur son épaule, Le Seigneur me donna une vision éveillé, il disparu à mes yeux et il se changea en Évêque avec un bâton , une crosse à la main et il guidait les brebis grasses et blanches que nous étions devenues sous son autorité, nous broutions l’herbe verte et étions très contentes de ne pas avoir à surveiller nos arrières, personne n’était là pour le faire pour nous. Je reculai et je me demandai ce que cela signifiai, je n’en parlais pas, j’avais trop peur que quelqu’un ne me traite de fou…le lendemain, nous avions un pèlerinage avec une religieuse, et dans l’autobus un Évêque était là, alors, je lui offrit de partager mon dîner, il accepta. Lorsque nous dînions ensemble, je lui ai raconté ce qui c’était passé et il me dit que L’Esprit m’avait montré le charisme du prêtre. Depuis ce temps, je fais attention au prêtre, leur responsabilité est bien grande…seul Jésus les jugera ! Le chemin se continua, je reçu de la part de notre Mère Église bien de la nourriture et du réconfort, car je ne m’aimais guère à cette époque, j’avais une profonde haine vis-à-vis moi-même pour la vie que j’avais faite. Je croyais à cette époque avoir une certaine soumission, mais L’Esprit me montrait combien j’étais centré sur moi, je disais souvent au Seigneur que j’étais prêt à faire sa volonté, mais dans les faits c’était autrement, alors, il me permit cette expérience : j’étais dans la chambre à coucher le matin, et je faisais mes exercices de piété, lorsque surgit en coup de vent mes deux filles qui jouaient et se pourchassaient dans la maison, je piquai une petite colère, et là, l’Esprit me montra comment je n’avais aucune soumission entière à la volonté de Dieu, le chagrin, et le mécontentement, lorsque je suis empêché de faire les exercices à la quelles je suis attachée. Combien, il me manque encore de cette Sainte indifférence (Don de l’Esprit) .
Par la suite, l’église me demanda de m’ouvrir à la vie,
nous avions empêché la naissance d’autres enfants par la pose d’un stérilet pour pouvoir jouir de la sexualité sans responsabilité, alors, je dis oui ; Lorsque j’en parlais avec mon épouse, elle m’a dit que jamais , elle ne s’ouvrirait à nouveau à la vie, mais, pour une raison que j’ignore, elle tomba enceinte, elle rejeta sa grossesse jusqu’au septième mois, j’ignore ce que l’Esprit lui dit, mais elle commença à suivre les catéchèses du chemin Néo-cathécuménale, et accepta l’enfant en son sein.
Personnellement, je crois que c’est que cet enfant a déjà annoncé à sa mère le Christ. Sa naissance fut marquée par une intervention du ciel, je m’explique; le 24 mars était un dimanche lorsque les contractions débutèrent, j’étais content, nous ne savions pas si cela était un garçon ou une fille, lorsque le passage fut rendu à 10 cm et que les poussées utérines débutèrent, l’infirmière responsable téléphona au docteur de se présenter que c’était proche, le docteur se présenta et tout cessa, les contractions et le travail arrêtèrent…. Pendant près de 4 heures, je me demandais ce qui se passait, si le bébé n’était pas mort, le personnel scrutait attentivement le ventre de mon épouse avec différents instruments, et tout leur semblait normal…. Il ne comprenait pas. Nous non-plus d’ailleurs ! Au petit matin, les contractions repartir et un fils nous fut donné, j’étais déçu, nous étions rendues lundi matin ; rendu chez-nous, fatigué, je me couchais la tête sur la table, et je pensais à ce qui c’était passé, et je voyais passé ma déception, lorsqu’une pensée me traversa l’esprit de me lever la tête et de regarder la date, qu’elle était la fête de cette journée, je fus stupéfait de constater que c’était l’ANNONCIATION …la joie m’envahie aussitôt, je compris que cet enfant était un don du ciel, et que ce don m’avait été donné par la Vierge Marie. Ce fils est dans le plan de Dieu. Aujourd’hui, il est disciple du monde, il expérimente que le monde ne peut nourrir la faim d’aimer qu’il a en lui, demain il sera disciple de la vérité du doux et humble Jésus par Marie sa maman.
Le travail m’amena sur le territoire de la Baie James pour une durée de 8 semaines, sans mon épouse et les enfants , et je m’ennuyais beaucoup ; il se produisit un événement spécial, un jour , la police arrive dans ma chambre , où je demeurais avec un mandat de perquisition , et fouilla ma chambre, elle trouva dans mes tiroirs des composantes électroniques , et m’amena au poste pour interrogatoire ; ce que je ne savais pas, c’est que 21 radios émetteurs de grand prix avait été volés, et la police pensait qu’il se préparait un gros coup, alors, elle cherchait par tous les moyens où étaient ses radios. Comme je travaillais en électricité, il était normal d’avoir certaines composantes électroniques, mais comme la police n’était pas certaine, elle voulait m’interroger au poste, comme l’interrogatoire se terminait, j’avais dans les mains un coupe papier et, je mentionnai à la police que si j’avais voulu, j’aurais pût m’en servir, mais les policiers prirent mal la chose, et m’enfermèrent dans une cellule. Je pleurais et je leur disais qu’il se passerait quelque chose qu’il se souviendrait toute leur vie, à ce moment, j’étais très loin de savoir que Le Seigneur prononçait un Oracle pour ma vie, après quelques heures dans la cellule, les policiers me relâchèrent avec excuse , et me dit qu’il avait retrouvé le voleur, mais le mal était fait….
Je me rendis dans la roulotte du prêtre catholique du chantier, mais il y avait plein de personnes avec lui, alors , je partis , comme je marchais en direction de mon dortoir , j’entendis une voix qui me criait , je me suis retourné , et c’était le prêtre qui voulait me remettre une médaille de la Vierge Marie ( Immaculée-Conception) entre les mains, et me dit « fais comme les jeunes , passe un lacet de cuir et met le dans ton cou » , rendus dans ma chambre , je fouillais dans un de mes tiroirs, je pris un lacet de cuir pour mes bottes de travail ,et je me passai la médaille autour du cou, comme je passais cette médaille dans mon cou, je ressenti un frisson , mais , je me dis, c’est parce que j’arrive de l’extérieur . Alors, commençais pour moi l’Oracle que Le Seigneur avait dit par ma bouche, lorsque j’étais dans la cellule, retenu prisonnier. (je leur disais qu’il se passerait quelque chose qu’il se souviendrait toute leur vie ) et c’était pour ma vie. Une parole du Seigneur m’interpellait souvent, « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jean 13, 34), je n’avais pas cet amour en moi, et je lui faisait souvent cette prière « Seigneur, si tu veux que j’aime comme toi, alors donne-moi cet amour que je n’ai pas……» Seigneur, je ne m’aime pas, comment veux-tu que j’aime les autres?
Après être arrivé de la Baie James, un frère dans la foi et ami Jean-Noël , vint chez moi et on échangeait sur la parole du Seigneur et ce qu’elle voulait dire pour nous qui en discutait. Il me mentionnait que le secret avec Le Seigneur c’est de se présenter devant lui avec un vase et qu’il nous donnerait une mesure débordante dans notre sein.( Luc 6, 38). Je me mis à réfléchir et me posais la question, à l’intérieur de moi, avec quoi, je pourrais me présenter devant Le Seigneur, qui lui serait agréable et qui serait accepté, et surtout que je n’aurai plus à y revenir, étant paresseux. Une idée me traversa l’esprit, « Présente-toi avec le coeur de la Vierge Marie, et demande-lui de le remplir » Hey, c’est une idée brillante celle-là, que je me mis à dire que j’ai eu là; Aujourd’hui, je sais que cela fut fait par l’intervention du St-Esprit. À ce moment, je fis cette prière avec joie au Seigneur et réalisant que c’est un défi intéressant pour lui et toute à sa grandeur de roi et j’oubliai cette prière.
Un jour, je tombai sur un pamphlet qui expliquait la médaille de l’Immaculée-Conception de la Vierge Marie, lors de sa visite à Ste-Catherine Labouré. Une chose me toucha lorsque je lis cette documentation, Ste-Catherine remarqua des anneaux revêtus de pierreries les unes plus grosses et les autres plus petites qui jetaient des rayons plus beaux les uns que les autres… sur les doigts de la Vierge Marie et elle interrogeait Marie sur cette signification, elle reçut ses informations : « C’est le symbole des grâces que je répands sur les personnes qui me les demandent. » Quelques-unes des pierres précieuses ne donnaient aucun rayon… « Ces pierres qui restent dans l’ombre figurent les grâces qu’on oublie de me demander« ! Voulant et désirant que Marie soit toute belle, toute illuminée, je lui ai adressé cette prière « Oh Mère sainte, je vous demande humblement de me donner toutes les grâces que l’on oublie de vous demander, pour que vous soyez la plus belle de toutes les femmes.»
Je répétai cette prière de temps en temps. Le Seigneur permit que je puisse distribuer cette médaille, que l’on dit aujourd’hui médaille miraculeuse. Je peux vous assurez que tous ceux qui l’ont reçu dans la foi, ont reçu des miracles dans leurs vies ou lors de leurs passages dans la mort. Des réconciliations impossibles se sont faites, des gens se sont convertis de façon inattendue et j’en passe.
Je demandai à mon ami le numéro de téléphone d’une religieuse des Antoniennes de Marie, après l’avoir contactée , elle décida de me recevoir . J’ai bien vérifié à plusieurs reprises sa Charité , et je peux vous assurer qu’elle est une Chrétienne adulte , capable de donner sa vie pour que nous ayons la vie. Après plusieurs mois de nombreuses rencontres avec cette Sœur, elle me remit un petit volume bleu, qui était intitulé « Le Secret de Marie » , elle me dit de le lire ; comme il m’arrive parfois de ne pas rouspéter, je pris le petit livre et l’emportai chez moi, sans y faire trop de cas. Je le regardai , mais , cela ne me disais rien de spécial. Après quelques mois, je rencontrais à nouveau Sœur B, et elle me demanda où j’en étais avec le volume, je lui ai mentionné que je l’avais lu un peu en diagonale, mais que cela ne m’attirait pas vraiment , Sœur B, me dit de relire ce volume, chose que je fis, quand je revins chez moi. Mais, comme déjà mentionné , cela ne m’attirait pas vraiment, cependant, je remarquais le sérieux et l’exigence qui y était mentionné dans ce petit livret ….